Les reprises d’entreprises ont très nettement baissé depuis 10 ans. Le processus de transmission doit se préparer très en amont, avant même que cette question n’émerge, pour maximiser ses chances d’aboutir. L’amélioration de la performance opérationnelle en est une composante. Ses objectifs : accroître la valeur de l’entreprise, assurer sa pérennité et sa résilience et permettre au futur cédant, le temps venu, de se consacrer totalement au processus de transmission.

 

Les PME sont le poumon de notre économie. Elles ne font pas la une des journaux, elles passent généralement inaperçues, mais leur présence et leur activité sont vitales à la santé et à la prospérité de notre pays.

Pourtant, selon une étude de la BPCE, les reprises d’entreprises (de la TPE à l’ETI) ont baissé de 33% entre 2013 et 2016 (les dernières données exhaustives disponibles concernent l’année 2016) et le phénomène continue de s’accentuer depuis 2016 selon l’ordre des experts comptables. Les conséquences sont lourdes, avec des cédants qui se voient contraints de rester à la tête de leur entreprise, de trouver un repreneur dans l’urgence, ou encore, souvent, de fermer l’entreprise.

 

Les raisons de ce constat sont nombreuses. Parmi elles, le manque d’anticipation de cette transmission. Difficile en effet pour un patron de PME d’envisager la fin de son activité, ce qui est bien légitime. Pourtant, ce processus doit se préparer très amont, avant même que cette question n’émerge.

 

C’est le cas notamment pour l’amélioration de la performance opérationnelle de son entreprise qui doit se faire avant que ne vienne le temps de la transmission. Cette étape est indispensable pour 3 raisons :

Accroître la valeur de l’entreprise par une amélioration des résultats, afin de la rendre plus attractives pour les repreneurs et permettre au dirigeant, futur cédant, de récolter pleinement les fruits de son investissement personnel et de ses années d’engagement.

Mettre en place des modes de fonctionnement qui permettront d’assurer la pérennité de l’entreprise après une cession, en la rendant plus autonome et donc plus résiliente.

Permettre au futur cédant, le temps venu, de se consacrer totalement au processus de transmission pour maximiser les chances d’aboutir, en ayant optimisé en amont la partie performance et organisation.

 

Pour y parvenir, il est nécessaire de travailler selon les deux axes de réussite qui composent la performance opérationnelle :

  1. L’efficience des processus, donc des fonctionnements de l’entreprise.
  2. Mais aussi, le management pour garantir la motivation de chacun dans le temps et rendre l’entreprise plus résiliente.

 

Pour un dirigeant de PME, il est donc indispensable de préparer l’avenir de son entreprise, son après, au risque de le subir. Ce dernier challenge se doit d’être relevé comme le furent les précédents, avec énergie et détermination.

 

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